Quelques jours avant le week-end Pascal, sachant que j’avais quatre jours de congés, j’avais décidé de partir tremper mes nymphes sur une rivière qui m’était jusqu’ici inconnue. Compte tenu de l’état des rivières franc-comtoises, Loue, Doubs et consort, inutile de les faire souffrir encore plus. Cet été avec notre club nous descendrons un peu plus bas et tenterons de pêcher la Bienne. Ce week-end de pâques sera donc consacré à une reconnaissance des différents parcours possible. Pour ce nouveau périple, je ne suis pas seul, Sébastien et Michel m’accompagnent. Il a fallu faire vite pour se renseigner et finalement tout s’est super bien goupillé, l’office de tourisme de St CLAUDE nous a renseignés sur les différentes possibilités d’hébergements, la tâche est rude car la saison touristique n’a pas encore débuté. Malgré tout, un camping accepte de nous recevoir même s’il n’est pas encore totalement ouvert, il y a quelques travaux en cours de finition. Le camping du lac du Coiselet se situe au pont de Chancia et il nous conviendra parfaitement. Le lac de Coiselet reçoit les eaux de la Bienne et de l’Ain en provenance du barrage de Vouglans.
Vendredi en début d’après midi, retrouvailles chez Michel, chargement de l’auto et de la remorque, au moment du départ, le GPS indique quatre heures de route qui se dérouleront sans encombre. Durant le voyage les discussions tournent exclusivement autour de notre passion commune, la pêche à la mouche. Séb qui n’a jamais vu une truite zébrée est hyper impatient, en moi aussi l’excitation est bien présente, Michel qui fait sa sieste à l’arrière de l’auto en rêve probablement aussi …
La veille de notre départ, au téléphone, le président de l’AAPPMA la Biennoise m’avait mis l’eau à la bouche en m’expliquant que les poissons étaient dehors en cette période et je n’avais pas manqué de le relater à mes deux compères. Merci à ce monsieur pour son accueil aussi bien au téléphone que sur le terrain car nous avons eu l’occasion de nous rencontrer au bord de la Bienne sur le parcours kayak le dimanche matin. Au lieu de partir à la chasse au oeufs de pâques, nous étions partis à la chasse aux truites …
Vendredi soir en arrivant au camping, le temps de tout installer, les deux tentes, la cuisine, le barnum et les tables, l’heure était bien avancée et nous avons choisi de ne pas pêcher, mais plutôt de faire une petite reconnaissance afin de ne pas perdre de temps le lendemain matin. Entre les plans issus d’Internet, les explications de Christian, et du président de l’AAPPMA, nous trouvons rapidement un premier accès pour le No-Kill après Lavancia-Epercy. L’eau est d’une limpidité extraordinaire, claire comme du kirsch, les galets qui composent le fond sont propres comme passés à la brosse. C’est splendide, Sébastien tremble comme une jeune pucelle devant ce joyau, il faut dire que c’est sa première fois sur ce genre de rivière. Quelques gobages nous sortent de notre torpeur et la démangeaison de sortir le matériel nous reprend, finalement nous serons patients et préférerons discuter avec quelques pêcheurs habitués des lieux. J’en profite pour les remercier de leur accueil et de nous avoir expliqué un peu plus les accès aux différents secteurs.
Samedi matin au chant du coq avec la tête dans le gaz, sans doute à cause de quelques vins et spiritueux dont nous avons abusé durant la soirée, il était temps d’en découdre avec les jolies zébrées de la Bienne. Après dix minutes de route nous arrivons dans une petite clairière et tout le monde s’équipe, comment va-t-on pêcher, en sèche, en nymphe à vue, au fil ? Les éternelles questions en quelque sorte. La pêche débute quelques minutes plus tard, des tas de poissons sont là devant nos pieds, mais point de truite, ce sont des chevesnes en train de frayer. Le spectacle est joli à voir alors nous regardons puis tout s’accélère, des gobages bruyant se font entendre et voir, ils sont trop loin au milieu de la rivière pour pouvoir les atteindre de là où nous sommes. Sébastien va les tenter tandis que Michel est descendu plus en aval. Pour ma part, je suis équipé pour la nymphe à vue et je ne vais pas me laisser influencer par le premier poisson venu. Je reste patient et ne bouge pas, j’observe tel que le ferait un héron quand soudainement, j’aperçois enfin ce que je suis venu chercher, des zébrées commencent à s’activer à ma proximité. J’attends encore un peu afin qu’elles soient vraiment en confiance mais les truites se déplacent quasi sans arrêt, pourtant, de temps en temps elles mangent en chemin. Cela fait déjà un long moment que j’observe quand je décide enfin de faire les premiers lancers, il va falloir une sacrée dose de patience pour réussir à faire mordre un poisson qui au final va se décrocher, un autre sera manqué au ferrage, bref des poissons retors à souhait !
En milieu de matinée, je me déplace vers un gros gourds empli de pierre à quelques mètres seulement du précédent poste, l’endroit idéal pour y mettre des gros poissons c’est sûr. Je me tiens contre la roche sans bouger, j’observe deux poissons qui tournent autour d’une grosse pierre dans presque deux mètres d’eau. Je prépare ma nymphe pour une arbalète qui sera la seule possibilité de lancer de là où je suis. Au moment où les poissons me tournent le dos, je lance la nymphe légère ce qui lui permettra de descendre suffisamment pour se retrouver dans le champ de vision des belles quand elles auront fait le tour de l’énorme pierre. Elles arrivent tranquillement face à moi, la nymphe continue sa descente quand soudain le plus grosse des deux truites accélère sa nage et monte à la rencontre de la nymphe, sans hésiter elle ouvre une large gueule et l’englouti. Elle referme la gueule, je lève mon bras, pendu !!!! A ce moment là, je me dis que le plus facile vient d’être fait, décider ce poisson à mordre. La suite va être un combat titanesque entre cette truite qui connaît la moindre pierre et souhaite s’y réfugier et moi qui ne l’entend pas de cette façon. Je sortirai vainqueur de ce duel qui va durer plus de cinq minutes qui vont me sembler une éternité. Michel qui sera le témoin de la scène, viendra prendre la photo avant la remise à l’eau. Le poisson est splendide, avec ses trois bandes sombre, j’estime sa taille entre cinquante cinq et soixante centimètres, elle est grasse à souhait, bref, un poisson magnifique.
Le reste de la matinée sera d’un calme plat, je ferai fuir tous les poissons aperçus. Mes deux comparses ne feront guère mieux et c’est d’un commun accord que nous rentrons au camping pour le casse croûte du midi et la petite sieste afin de nous remettre de nos activités nocturne. Vers seize heures, retour à la pêche en amont de l’ancien pont à Jeurre, nous marcherons une grande partie de l’après midi, les gravières se succèdent les unes aux autres mais pas l’ombre d’une truite en vue, sauf dans une espèce de retourne où deux belles truites nous ont entendu arriver à cause du bruit sur les galets et donc pris la fuite. Elles ne reviendront pas, et pour moi la pêche se résumera à découvrir la rivière sur presque deux kilomètres mais le manque d’eau ne sera pas propice à mes desseins et je ne ferai même pas un lancer. Pendant ce temps, Séb et Michel tenteront quelques zones où ils auront aperçu des gobages et le grand va prendre un poisson qui restera je pense à jamais gravé dans sa mémoire, c’est son plus gros ombre. Sur un poste que je pensais plutôt occupé pas une truite, un ombre de cinquante et un centimètres s’est emparé de la mouche de Sébastien, j’ai entendu d’après le cri de Séb, qu’il se passait quelque chose alors que j’étais déjà loin de lui, alors je suis revenu vers lui pour voir de quoi il s’agissait et je fus vraiment étonné de découvrir ce magnifique poisson.
Pour le coup du soir, nous voulions pêcher le premier endroit aperçu la veille au soir, à peine en poste, quelques poissons gobaient, mais le vent est venu gâcher la fête, il a eu pour effet de faire tomber des tas d’impuretés sur la surface de l’eau dans un premier temps, ensuite la bourre des saules vient achever le tableau, le vent remonte la rivière, la pêche est impossible je sors de l’eau tandis que mes amis continuent à tenter le diable sans réussite. Les poissons cessent de s’alimenter, la nuit arrive, il est temps de rentrer au camping avec de belles images dans nos têtes qui sont moins embrumés que ce matin.
Dimanche matin, la pluie est tombée par moment au cours de la nuit mais tout de même pas de quoi faire monter le niveau de l’eau sur la Bienne. Ce matin nous allons pêcher le parcours kayak et c’est là même que nous allons rencontrer le président de l’AAPPMA de St Claude, la Biennoise, il nous explique que lui aussi a constaté la veille que la pêche avait changé, avec moins de poissons dehors entre autre. Depuis le pont bailey, nous observons quelques truites qui tournent sur la rive droite, en aval, à la recherche de quelques invertébrés à se mettre sous la dent. Michel et Séb vont faire les sioux une bonne partie de la matinée avec un manque de réussite certain, dommage car les deux avaient su rester patient et chacun a eu l’occasion de voir une truite croquer dans leur nymphe et de ferrer, seulement le sort en avait décidé autrement, pour un c’est la casse au ferrage, et pour l’autre après quelques dizaines de secondes de combat. Les deux casses sont explicables, pour l’une d’entre elle le fil était de très mauvaise qualité et pour l’autre c’est le moulinet qui s’est emballé ce qui a provoqué un foisonnement de la soie dans le bâti du moulinet. Ce genre d’erreur ne pardonne pas et chacun l’aura appris à ses propre dépends. Plus tard avant midi, tous étions capot, par un poisson dans l’épuisette, j’avais pour ma part dépiqué par deux fois. Nous avons observé quatre truites sous une roche dont une dépassait les soixante centimètres.
Combien de truites voyez vous ? |
L’après midi, direction la carrière au niveau de Dortan, pas grand-chose à signaler, le soleil de plomb nous écrase, il fait vraiment très chaud. Toutefois quelques petits secteurs sont possibles à l’arbalète et il va encore m’arriver une chose incroyable. Quelques barbeaux passent devant nous, Séb et moi, des chevesnes aussi, et surtout une truite de taille respectable, il va falloir attendre presque vingt minutes pour que la truite passe à portée de canne. A un moment, elle descend le courant comme à chaque fois mais prend un virage plus large vers nous, elle est encore à aval de notre position, je shoote ma nymphe en amont hors de sa vue immédiate avec la canne en retrait presque à toucher la bordure. La truite continue son chemin et n’a pas flairé notre présence, la nymphe se trouve juste dans l’axe de sa gueule, la brave fille d’un coup de tête à peine perceptible, se saisit de la nymphe, je ferre un peu fort comme souvent et voilà la truite qui tournicote puis plus rien, je me dis j’ai ferré trop tard ou trop tôt. Mais en fait il n’en est rien, c’est mon hameçon qui a cédé pendant la bagarre ! Cela ne m’était encore jamais arrivé, je ne pourrai plus le dire. Pourtant l’hameçon n’était pas rouillé ce qui parfois peut arriver, je pense que sur ce coup là, c’est tout simplement un défaut de fabrication qui a provoqué la rupture. Difficile journée pour moi où j’ai comme l’impression que la poisse me colle à nouveau aux basques ! Le coup du soir ne donnera rien, les truites ne seront pas de sorties, les ombres seront là mais nous jouerons le jeu de ne pas les pêcher, un autre pêcheur local ne se privera pas de le faire sans scrupule, c’est lamentable mais ainsi va la vie, il y a ceux qui respecte et il y a les autres …
Encore une nuit à passer sous la tente et aussi une demi journée de pêche car il nous faudra reprendre la route en début d’après midi. Nous décidons de refaire le parcours kayak car sur le secteur du premier jour de nombreuses voitures sont là et c’est blindé de pêcheurs. Depuis le pont bailey, la rivière est toujours aussi belle mais les poissons ont l’air comme absents mis à part quelques ombrets qui nymphent et gobent à tout va. Désormais chacun de nous connait un peu plus les postes et nous allons pêcher un moment seul dans nos petits coins. Pour ma part je décide de remonter par la rive droite à pas de loup avant que le soleil n’arrive, la première truite aperçue, je la fais fuir, ça commence fort. Plus tard dans une toute petite vasque, je vois une splendide truite qui suit un même parcours trois fois de suite, elle cherche sa pitance. Je me positionne, je suis allongé à même le sol, si je recule elle va me voir et de toute façon il me sera impossible de la pêcher à cause de la lumière du soleil qui fera refléter l’ombre de ma canne sur la vasque, donc autant rester là. En face de moi sur la rive opposée, Michel est presque dans la même position couché au sol, lui aussi sûrement face à un poisson aperçu.
Je lance ma nymphe elle arrive à la surface de l’eau, de ma position, impossible de voir l’impact de celle-ci sur l’eau, la truite arrive vers la nymphe, elle ouvre la gueule, elle referme, je ferre et me lève en même temps et rien ne se passe ! Sauf la truite qui s’enfuit toutes nageoires dehors. Seulement après, je comprends mon erreur car c’est de ma faute, ma nymphe est restée à la surface sans couler et c’est une vraie nymphe que la truite avait prise. L’explication est toute simple, ma nymphe non plombée n’avait pas été mouillée au préalable et vu le peu d’angle que j’avais pour lancer elle n’avait pas de vitesse pour percuter l’eau et franchir la pellicule. La prochaine fois je penserai à la saliver un peu et cela ira bien mieux. Compte tenu du peu de poissons dehors je me dis que je ferais bien d’attendre un peu, des fois que la truite revienne, elle est réapparue après une demi heure sans bouger, tel que le ferait un vieux soldat dans son trou de combat, à peine arrivée dans la vasque elle en fait le tour une première fois comme si pour voir s’il n’y a rien d’anormal. Le temps qu’elle passe à l’opposé j’arme le nerf de ma canne pour faire une arbalète, la bête fait demi tour, change de direction et vient se mettre à ma gauche sur un retour de courant, je ne peux pas lancer, je la regarde et la voit gober tout en douceur à moins d’un mètre cinquante de moi en face à face, c’est impressionnant.
Elle repart dans la vasque, refait le tour de cette dernière, ramasse quelques nymphes au passage, au prochain passage je la tente, Elle amorce son virage vers moi, je lance, cette fois la nymphe descend, la truite arrive face à moi s’arrête et s’enfuit tranquillement, cette fois elle a flairé le piège. Je me suis encore fait avoir comme un gamin, j’ai attendu tellement longtemps qu’au final ma canne était en plein soleil, la truite a vu le blank ou les anneaux briller. Dommage, je pense que je méritais ce poisson rien que par la patience que j’avais démontré, je me suis trompé, tant pis.
Après cet épisode, je retrouve Séb un peu en galère sur la rive gauche et nous allons pêcher un peu ensemble, tandis que Michel n’a pas bougé de secteur il cherche toujours à prendre sa truite qui fait des apparitions de temps à autres. Tout en expliquant à mon jeune padawan je fais à nouveau fuir un poisson. Nous allons plus en aval sur un secteur reconnu la veille où des truites tournaient, une seule passera à proximité de lancer et s’enfuira en voyant le fil du grand, il faut dire que le lancer n’avait pas été parfait. L’erreur ne pardonne pas sur cette rivière, c’est l’école de la pêche dans toute sa splendeur.
Nous remontons sur le secteur précédent après une demi heure sans rien voir, la truite enfuie tout l’heure est revenue, j’aimerais bien prendre un poisson aujourd’hui, je sais que c’est possible, il y a la place.
Notre position est idéale, la truite ne peut pas nous voir, je m’applique, le geste est parfait, la nymphe arrive dans le champ de vision du poisson, elle se décale un peu et aspire la nymphe plus qu’elle ne la croque, je ferre dans l’instant, le problème, c’est qu’une fois de plus les caches sont nombreuses sur ce poste. Je lutte du mieux possible, la bougresse essaie de se caver à plusieurs reprises, je la contre bien avec la canne haute, je rentre dans l’eau pour prendre l’avantage mais une fois de plus c’est le drame, elle réussi enfin à rentrer sous une roche, mon fil frotte dangereusement contre la paroi, il cède ! Séb qui filmait, coupe la caméra quand il entend les noms d’oiseaux fuser, je suis vert de rage.
Il va me falloir pas loin d’une minute pour me remettre en mode normal. Petite pose de dix minutes quand soudain, je vois une tache sur le fond de la rivière, c’est une dormeuse, derrière un caillou, je montre ça à mon padawan qui n’en a jamais vu, il n’en revient pas. Je vais essayer de la pêcher sur au moins dix dérives sans succès, je change de nymphe et pour une fois en propose une lestée pour être sûr de descendre juste derrière le caillou. Bizarre, la truite ne bouge toujours pas, pourtant je suis sûr de pêcher juste, je m’approche de façon à me trouver juste sur son flanc et c’est à ce moment là que j’explose de rire, cela fait un quart d’heure au moins que je pêche un caillou !!! Désolé Séb, tu n’auras donc toujours pas vu de dormeuse, j’espère pouvoir te montrer ça un jour.
Il est grand temps de retrouver Michel qui est resté dans le même secteur depuis le matin. Il n’a pas réussi non plus le moindre poisson. Juste en amont les ombres sont toujours actifs comme la veille, je scrute et fini par trouver une truite qui comme par enchantement vient vers moi. Je suis bien caché sur la bordure, elle ne voit rien, je lance, impact de la nymphe légère sur l’eau, la truite arrive nonchalante, elle se saisit de la nymphe d’un franc coup de gueule, je ferre, la truite prend la direction des roches mais cette fois je ne m’en laisse pas compter, je rentre dans l’eau à toute vitesse et j’arrive à contrer ce poisson plusieurs fois d’affilé pour finalement arriver à le mettre dans l’épuisette et ce sera le dernier poisson du séjour car il est déjà temps de rentrer pour le casse croûte. Ensuite il faut démonter le campement, ranger la remorque et l’auto, filer à la douche, régler la note de camping et reprendre la route en direction des Vosges avec des souvenirs pleins la tête.
Chacun de nous trois a pris du bon temps pendant ce week-end, nous en aurons encore beaucoup appris sur ces truites zébrées de la Bienne. J’ai même hâte d’y retourner, même si chez nous il subsiste de belles rivières, c’est très différent. Je voudrais avant de refermer ces quelques lignes tirer un grand coup de chapeau à l’AAPPMA la Biennoise pour son parcours No-Kill de plus de cinq kilomètres en première catégorie du domaine public et encore presque autant sans être No-Kill. Cela est assez rare pour être souligné.
Notre cuisto en chef nous a encore gâtés, pendant les trois jours. Je n’ai pas perdu un gramme, tu peux être fier Mimi ! Quand à toi Séb, c’est quand tu veux que tu viens nous refaire les tartines pour les petits déjeuner ! Quelle belle tranche de vie nous avons vécus, merci les amis. Voilà ainsi se termine se périple de trois jours sur une splendide rivière où j’ai déjà bien envie de retourner, j’espère avec des poissons un peu plus actifs et peut-être un coup du soir. Cette fois-ci c’était peut être un peu tôt, les éclosions pas encore en place et les soirées bien trop fraîches. Vivement la prochaine fois !!!
7 commentaires:
Punaise, ça donne vraiment envie d'y aller ..... mais avec des potes bien sûr! quelle virée sympathique vous avez fait.
Pour la photo j'ai cru voir 2 truites ....
ceci fut un super week-end.je n'avais jamais vu un endroit comme celui si.je tiens a remerciez manu de m'avoir permis de découvrir ce splendide paysage et poissons et surtout la pêche a vue que j'avais pratiquez que deux fois,grâce a son savoir faire et technique une fois de plus il sacrifie de son temps pour nous apprendre beaucoup de choses comme l'approche du poisson pour ne pas se faire voir et le posée de la nymphe dans différent courant.(chose qui ne serait pas obliger de faire) je tend remercie beaucoup de ce séjour qui restera gravez pour toujours.merci a michel(snoopy) pour ces fabuleux repas.a refaire au moment venu.que dire de plus tous est marqué dans le blog.encore merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii....
c'est sur que c'était un beau w.e. Je n'y connais rien en pêche mais je suis fière de ce que fait mon fils. Un grand bravo pour la rédaction de ces trois jours, t'es un vrai, journaliste, Manu.
Les amis, c'est clair nous y retournerons !
Maman ? Toi ici, je suis trop content ! Merci aussi pour ton commentaire qui me fait très plaisir. N'oublie jamais une chose, si je suis ce que je suis c'est grâce à toi ! Alors encore MERCI !
Passer 15 min à pêcher un cailloux... Mdr. Trop fun ^^
@ Titi :
Fun jusqu'au moment où j'ai découvert que c'était un caillou !!!
Nous avons rigolé un bon coup avec Séb le couvreur !
Loovely post
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